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Toujours par un très beau temps et vent plutôt faible nous sortons de la Cappadoce pour nous rendre à Kayseri. Le chemin du retour s’annonce. Nous rejoindrons jeudi Sivas pour prendre un train qui nous ramènera à Istanbul (durée du trajet environ 24H00). Nous pensions au départ aller jusqu’à Erzurum mais notre détour par la Cappadoce nous a pris plus de temps que prévu. Le froid commence à arriver. Notre point final pour cette année sera donc Sivas.
Pour l’heure et pour nous rendre à Kayseri nous roulerons uniquement sur la quatre voies. La circulation n’est pas trop dense. Mais c’est vrai que le dépassement des voitures, des camions ou des bus n’est pas forcément chose très agréable. Au loin le sommet du mont Erciyes laisse éclater ses névés qui se déversent sur sa face Nord. Le mont Erciyes est le point culminant d'Anatolie centrale (3 916 mètres), et comporte un volcan éteint à son sommet.
Le long de la route, notre ravitaillement est assuré. Les agriculteurs qui vendent quelques produits légumes ou fruits nous invitent à manger leurs produits. Nous sommes gavés de raisins, noix ou encore concombres que nous mangeons comme on mange une banane.
Pour l’heure et pour nous rendre à Kayseri nous roulerons uniquement sur la quatre voies. La circulation n’est pas trop dense. Mais c’est vrai que le dépassement des voitures, des camions ou des bus n’est pas forcément chose très agréable. Au loin le sommet du mont Erciyes laisse éclater ses névés qui se déversent sur sa face Nord. Le mont Erciyes est le point culminant d'Anatolie centrale (3 916 mètres), et comporte un volcan éteint à son sommet.
Le long de la route, notre ravitaillement est assuré. Les agriculteurs qui vendent quelques produits légumes ou fruits nous invitent à manger leurs produits. Nous sommes gavés de raisins, noix ou encore concombres que nous mangeons comme on mange une banane.
Nous rejoignons Kayseri vers 16H00. Kayseri est une grande ville d’environ un million d’habitants. Pour atteindre le centre nous roulons pendant plus de 15 km sur une route qui est quasiment une deux fois quatre voies. Le centre de la ville nous semble très loin. Cette ville construite dans la plaine s’étale sur une surface considérable. Finalement en suivant une ligne de tram, nous arrivons enfin au centre de la ville où nous trouvons un hôtel. Pour la première fois en Turquie, nous roulons sur une bande cyclable. Il est vrai souvent encombrée par les voitures. Mais il y a un système de vélo en libre service et comme la ville est plate les vélos sont assez nombreux.
Dans la soirée à la recherche d’un restaurant nous irons dîner dans l’un des rares établissements où l’on sert des boissons alcoolisées. Dans une ambiance plutôt feutrée, beaucoup d’hommes (jamais de femmes) viennent ici passer la soirée après le travail. Curieusement cet établissement n’a pas de façade donnant sur la rue. C’est par un ascenseur discret qu’on accède à la salle des consommations.
La Turquie prône un Islam tolérant ; mais il y a des choses qu’on préfère cacher…
Kayseri est une jolie ville. La parcourant à pied en soirée. Ses monuments sont joliment éclairés. Il y a un caravansérail qui est un lieu de commerce et dont la porte d’entrée est remarquable. La citadelle de la ville est également bien mise en valeur par les éclairages. Cette ville à l’écart des circuits touristiques mérite une petite visite.
La Turquie prône un Islam tolérant ; mais il y a des choses qu’on préfère cacher…
Kayseri est une jolie ville. La parcourant à pied en soirée. Ses monuments sont joliment éclairés. Il y a un caravansérail qui est un lieu de commerce et dont la porte d’entrée est remarquable. La citadelle de la ville est également bien mise en valeur par les éclairages. Cette ville à l’écart des circuits touristiques mérite une petite visite.
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