Nous partons vers 8h00 ; le vent ne s’est pas encore levé ; mais c’est maintenant en guise de petit déjeuner une belle côte d’un km à plus de 8% que nous devons remonter pour nous « hisser » sur le plateau qui domine la mer Noire.
Cette route que nous empruntons est peu fréquentée et évite la grande nationale….il fait bon rouler ; la vue de la mer est stimulante après notre journée d’hier dans les champs de tournesol.
Mais cela ne dure pas ; bientôt nous nous sommes obligés de rejoindre la nationale la circulation est importante ; la route est vallonnée et dans les côtes nous devons être vigilants car les bus, les camions sont nombreux et avec nos vélos chargés la trajectoire n’est pas toujours rectiligne…
La chaleur commence à monter mais le vent enfin ne nous gène pas…Varna s’annonce.
Il est grand temps la circulation nous saoule ; Claude a une fringale. À la moindre côte il a de plus en plus de mal. L’entrée à Varna sur une route à quatre voies se fait assez facilement et arrivés dans le centre nous nous attablons à la terrasse d’un restaurant où nous récupérons de cette chaude matinée.
Nous avions prévus de faire une étape un peu longue pour aller vers Obzor, une petite ville en bord de mer. On se dit que cela sera peut être difficile car il reste près de 60 km et nous venons d’en faire un près de 45….
Varna, comme la plus part des villes de Bulgarie possède un vaste centre piétonnier cela nous permet de faire un petit circuit dans cette ville qui est premier port et la troisième ville de Bulgarie. Des liaisons par ferry existent vers Odessa et vers la Russie.
Nous reprenons la route vers 14 heures et nous devons traverser un pont très long plus de deux kilomètres où la circulation est très importante car c’est la seule voie de passage…stressant, c’est avec un grand soulagement que nous quittons ce pont pour prendre une route de moindre importance. Cette route va monter durant près de quatre kilomètres, épuisant sous la chaleur. Surprise en haut de cette côte et alors que la route a rejoint le plateau des dizaines de prostituées sont sur le bord de la route, seules ou par deux et attendent les clients…triste spectacle que ces jeunes femmes à demi dévêtues sans doute amenés là par leurs maquereaux…
De nouveau nous sommes contraints de reprendre la grande nationale ; nous progressons rapidement car le vent enfin nous est favorable…mais nous décidons de ne pas aller à Obzor. Nous nous arrêtons sur les bords de la mer Noire à Kamčija ; nous découvrons que cette petite station balnéaire a du avoir des heures glorieuses au temps de la guerre froide…aujourd’hui ce ne sont que des ruines ou des bungalows plus ou moins à l’abandon….par contre à l’entrée de grands complexes hôteliers sont en construction, des campings ou des bungalows « du socialisme réel » on passe au bling bling libéral….
Nous avions prévus de faire une étape un peu longue pour aller vers Obzor, une petite ville en bord de mer. On se dit que cela sera peut être difficile car il reste près de 60 km et nous venons d’en faire un près de 45….
Varna, comme la plus part des villes de Bulgarie possède un vaste centre piétonnier cela nous permet de faire un petit circuit dans cette ville qui est premier port et la troisième ville de Bulgarie. Des liaisons par ferry existent vers Odessa et vers la Russie.
Nous reprenons la route vers 14 heures et nous devons traverser un pont très long plus de deux kilomètres où la circulation est très importante car c’est la seule voie de passage…stressant, c’est avec un grand soulagement que nous quittons ce pont pour prendre une route de moindre importance. Cette route va monter durant près de quatre kilomètres, épuisant sous la chaleur. Surprise en haut de cette côte et alors que la route a rejoint le plateau des dizaines de prostituées sont sur le bord de la route, seules ou par deux et attendent les clients…triste spectacle que ces jeunes femmes à demi dévêtues sans doute amenés là par leurs maquereaux…
De nouveau nous sommes contraints de reprendre la grande nationale ; nous progressons rapidement car le vent enfin nous est favorable…mais nous décidons de ne pas aller à Obzor. Nous nous arrêtons sur les bords de la mer Noire à Kamčija ; nous découvrons que cette petite station balnéaire a du avoir des heures glorieuses au temps de la guerre froide…aujourd’hui ce ne sont que des ruines ou des bungalows plus ou moins à l’abandon….par contre à l’entrée de grands complexes hôteliers sont en construction, des campings ou des bungalows « du socialisme réel » on passe au bling bling libéral….
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